Principale cause de décès liés au cancer dans le monde, avec les taux de mortalité les plus élevés chez les hommes et les femmes, le cancer du poumon affecte près de 53 000 personnes par an en France.
Un diagnostic souvent à un stade avancé
La forme la plus fréquente est le cancer du poumon non à petites cellules. Bien souvent, cette pathologie est diagnostiquée à un stade avancé, lorsque les options thérapeutiques sont limitées.
Traiter au mieux les patients
Si la prévention primaire et le dépistage des populations à risque sont des enjeux cruciaux dans la lutte contre ce fléau, il est par ailleurs essentiel de poursuivre le développement des nouvelles stratégies thérapeutiques pour traiter au mieux les patients.
De nombreuses pistes sont explorées
Si l’immunothérapie a d’ores et déjà transformé la prise en charge des patients ces dernières années, de nombreuses pistes sont explorées, notamment à l’Institut Curie, pour optimiser sans relâche ces stratégies thérapeutiques.
Prolonger l’effet antitumoral
Lors du Congrès de l’ESMO 2024, les experts de l’Institut Curie ont démontré qu’une combinaison inédite d’immunothérapies démultiplie et prolonge l’effet antitumoral. Ces résultats positifs préfigurent l’immunothérapie de demain.
Didier Galibert
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