Dépistage, diagnostic, éligibilité à un traitement, suivi d’un traitement : le diagnostic biologique permet d’apporter des réponses aux questions que se posent les patients : Suis-je malade ? Suis-je un sujet à risque ? Vais-je guérir ? Ce traitement est-il efficace ? Ma maladie va-t-elle s’aggraver ? De quel traitement puis-je bénéficier ?
Le diagnostic donne « le pouvoir de savoir » grâce au dosage de paramètres biologiques mesurables, les biomarqueurs, protéines, hormones, enzymes… qui ont une grande utilité lorsqu’ils sont surveillés dans un contexte précis : suivi d’un cancer déjà connu, aide au dépistage en complément d’éléments cliniques, réponse à un traitement.
Les tests d’analyses biologiques progressent, offrant des résultats plus précis et détaillés. Toutes ces évolutions favorisent une médecine adaptée, personnalisée, permettant de donner le bon traitement au bon patient, au moment.
Le biologiste médical, médecin ou pharmacien, est formé à la réalisation des actes de biologie médicale et à leur interprétation. Son rôle s’est trouvé considérablement modifié par ces évolutions, et a été renforcé par les autorités de Santé en 2010 dans le cadre d’une réforme profonde de la biologie médicale. Sa fonction est essentielle tout au long du parcours de soins, puisqu’il a la responsabilité d’interpréter les résultats de biologie et la possibilité de modifier ou d’ajouter des analyses, en accord avec le médecin traitant.
Leader du diagnostic biologique en France, Roche Diagnostics France a engagé récemment des actions d’information grand public relayées auprès des laboratoires de biologie médicale pour promouvoir l’importance du diagnostic biologique dans la prise en charge des patients tout au long de leur parcours de soins.
Plus d’infos sur www.roche-diagnostics.fr/
D.Galibert
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